Lis tes ratures

Kog, l'écrivain fou et David, le lecteur compulsif, ne renieront pas ce fil, que j'espère ne jamais voir confit dans le conformisme du "ce qu'il convient de lire pour s'encultiver le neurone".

Pour commencer, je fais la promo d'un bouquin que j'ai dejà vanté en privé à David, notre taulier bien-aimé -oui, nous nous ecrivons, et de quoi faire jaser copieusement-, à savoir : "Les voyages Interdits de Maco Polo"... qui n'est pas un joueur du sport du meme nom, mais un grand Voyageur, bande d'incultes et accessoirement le heros du livre de Gary Jennings.

Un rien libertin -enfin, un rien, un rien... ahem-, tres bien documenté (Gary Jennings traine une reputation d'historien), sabrant joyeusement les idées reçues quant aux moeurs exotiques des régions traversées, c'est un bouquin où il se passe toujours quelque chose d'insolite, effrayant, de sensuel, ou de carrément épouvantable.

Si vous avez l'humeur vagabonde plus que philosophe, lâchez vous... Vous n'etes pas obligés d'en parler ensuite dans les salons


Mab

Je vous propose la lecture de Nelson DeMille, afin de découvrir ce que signifie « sinique », cette évolution du cynisme vers moins d'émotivité et plus de lucidité.

Quand un chat s'appèle un chat. (Peu importe de quel nom on l'appèle, l'air bête n'en fait qu'à sa tête !)

Nelson DeMille est accrocheur, comme nom, mais j'ai du mal à le situer sur le versant litteraire de notre société...

Je vois ça d'ici :

• - Qu'est ce que tu as eu à Noël ?
  - Un Nelson2000.
  - Ah tiens, j'ai l'aspirateur Nelson2000 !
  - Oui, les ramasses-miettes sont tres bien aussi.
  

Et qu'a t il ecrit de beau, cet asp... cet homme ?


Mab -en cours de reinitialisation de sinisme-


UMP : il va falloir songer à definir un une formule "sinisme " dans le Dico.

Il faudrait aussi cpommencer de l'écrire, ce Dico, hein, hin, et hain ??
Alors, ma dernière lecture de l'année 2008 ? Villon, François de son petit nom.
Ma première lecture de 2009 ? Steinbeck, j'ai repris ( en français, j'ai honte, mais la traduc est excellente !) Tendre Jeudi.

J'ai la littérature vagabonde, actuellement...

"Il faudrait aussi commencer de l'écrire, ce Dico, hein, hin, et hain ??"

Il a débuté le jour de Noel, Lise, il doit etre en bas de la liste des sujets; il traite surtout de notre vocabulaire sur KaBoum, mais n'hesite pas à le completer (re-hein), tout le monde ne sait pas traduire le quebecois septentrional comme toi (moi, par exemple, j'ai parfois du mal à suivre les subtilités des dialogues entre l'Ours et le canard, mais c'est peut etre davantage parce que ce sont des garçons que des canadiens francophonistes aigus).


Mab -qui ne sait plus, qui ne sait pas-

J"y cours, j'y dégringole !

Lis-tes-ratures, décembre 2008 :

j'ai vraiment toujours autant de mal avec l'édition .

Nelson DeMille c'est avant tout « La Nuit des Mirages », « Night Fall » en Anglais. J'ai presque tout lu ce qu'a publié DeMille, ce roman était le premier écrit de sa main que j'ai emprunté et c'est à cause de celui-là que j'ai lu tous les autres !

« Wild Fire » est aussi un excellent roman. Et je ne peux pas m'empêcher de recommander vigoureusement « Le Déshonneur d'Ann Campbell » ainsi que « Une histoire ancienne », respectivement « The General's Daughter » et « Up Country » en anglais.

Il y a quelques années, j'ai decouvert un ecrivain britannique completement barjot farfelu, et en rangeant un peu et par obligation une partie de ma bibliotheque, je suis tombée cet apres midi sur ses bouquins.

A propos de bibliothèque, je me suis toujours demandée comment on parvenait à trier ses livres ? Je veux dire, il est trop baroque de les organiser par collections, trop aleatoire de les ranger par style et completement à la masse de le faire par auteur -car je suppose que vous n'avez pas tous les Maupassant, par exemple, dans la meme collection ?
Finalement, je les aligne par taille et couleur : les petits (editions de poche) ensemble, du plus clair au plus foncé (non, par auteur, ce n'est pas joli, Kog), les moyens moyens ensuite, puis les moyens gros, puis les grands fins, les grands moyens, etc. C'est une occupation particulièrement longue parce que des que je trebuche sur un titre qui me rappelle des bons souvenirs, je m'exclame "Ah tiens !", je m'assois par terre et je commence à le feuilleter.

Pourquoi est ce que je vous enquiquine avec cela ?
Parce que c'est exactement ce qui est arrivé avec Terry Pratchett, que je n'avais pas ouvert depuis... Quatre ou cinq ans ?


Connaissez vous "Les annales du disque monde" ?
Alors imaginez une enoooOOooorme tortue, sur laquelle sont installés 4 elephants, qui supportent le monde frappadingue dont Sir Pratchett narre les aventures completement delirantes. Il faut une bonne dose de derision et apprecier un humour loufoque pour aller au bout d'un des livres du Disque Monde, tout le monde n'accroche pas.
Mais personnellement, les trois que j'ai lu restent un tres bon souvenir...


Mab

Est-ce que de mettre un livre sur étagère est déjà le « ranger » ? Je me contente à peu près de cela, mais avec un p'tit plusse visuel : en appareillant les hauteurs (plutôt que les auteurs), ça fait plus esthétique.

Mes lectures étant surtout de la lecture de chevet (je me pratique à mourir, un gisant plutôt qu'un ci-gitant), alors mon « rangement » se résume à empiler les bouquins l'un par-dessus l'autre sur la table de chevet. Mais ce n'est pas nécessairement dans l'ordre du haut en bas que je vais lire les BD (puisque 99,999 % du temps n'est-ce que de la BD), j'y vais à l'envie, qui est trop instantanée pour être planifiable à l'avance. Le fun est meilleur quand il surprend qui va le gouter.

Taisez-vous, méchants !! vous le faites pour m'agacer, je le sais. C'est une coalition, une kabale, un retour de fer dans la plaie : car moi, je les range une fois tous les dix ans, mais comme je demenage au rythme de une fois tous les 5 ( ans) ben ils se retrouvent empilés dans des cartons, et des crates - quelqu'un peut expliquer à madame mabica ce qu'est un crate, ? Merci, David.
Donc, mon PROJET du printemps qui s'en vient - mais oui, il s'en vient. A pas lents, mais il s'en vient - et donc, le projet, c'est de confectionner, de faire confectionner à John un truc pratique pour ranger les livres du sol au plafond dans ce qui était la chambre de notre petit dernier, lequel à mouvu déménagé ailleurs pour cause de mariage et hop, une pièce libéree, dit-elle, on en fera un bureau.

Si les livres ne prennent pas toute la place. Cette maison est bien trop petite.
Rangement, c'est par ordre alphabétique. Les livres de voyages a part. Anglais et français mélangés.

_______________

Et savez vous que nous avons eu un Balzac avant Honoré ? UN Balzac Balzacien qui nous a laissé de jolies .. des pages difficiles aux environs de 1650 ?

Ben voilà, maintenant vous le savez.

« Taisez-vous, méchants !! »

La Voisine-Cousine ne parle pas de moi, c'est l'évidence même. Ouf, je l'ai néanmoins échappé belle !

« vous le faites pour
m'agacer, je le sais. C'est une coalition, une kabale, un retour de fer
dans la plaie : car moi, je les range une fois tous les dix ans, mais
comme je demenage au rythme de une fois tous les 5 ( ans) ben ils se
retrouvent empilés dans des cartons, et des crates - quelqu'un peut
expliquer à madame mabica ce qu'est un crate, ? Merci, David. »

Moi aussi, j'aimerais que David m'explique. Si je me fie à mes jeux PC, un « crate » est une boite, mais en bois. Quelle note me donnes-tu, maitresse d'école Lise ? Pas un CC, quand même !! Je dois mériter au moins un B. Je ne dois pas être loin de la vérité vraie.

« Donc,
mon PROJET du printemps qui s'en vient - mais oui, il s'en vient. A pas
lents, mais il s'en vient - et donc, le projet, c'est de confectionner,
de faire confectionner à John »

Les femmes, les femmes ! vous dis-je, plus ça change, plus c'est pareil. Donc, ce pôv John, because ses couilles, confectionnera, afin de rendre le sourire à son épouse, qui n'a pas de couilles - c'est le bon Dieu qui nous a arrangés de même, je n'y suis pour rien. (Consolez-vous, si j'avais été Dieu... demandez à Mabyca de remplir mes trois points de suspension !) Donc, John t'a été serviable. Cré John, un bon gars, finalement. On se ressemble un peu...

« un truc pratique pour ranger les livres
du sol au plafond dans ce qui était la chambre de notre petit dernier,
lequel à mouvu déménagé ailleurs pour cause de mariage et hop, une pièce libéree, dit-elle, on en fera un bureau. »

Un truc... un mot de femme qui fait plus souvent la vaisselle, le repassage et le balayage que de l'ébénisterie. Un truc... Lise veut nous parler d'une bibliothèque, cet étalage d'étagères superposées qui constitue ce qu'on appèle couramment une « bibliothèque ». Le mot, dans cette acceptation, ne fut conçue qu'au XVIe siècle. Les gens qui pErlent bien parleront plutôt d'un « cabinet » - raccourci pour « cabinet de lecture », ce que d'autres, sans doute des affairistes, appèlent un « bureau ». Vous dis, moé, les mots ont un poids dont on ne soupèse pas bien le sens, alors on écrit n'importe quoi (cf DMaudio à ce titre, il est exemplaire - mais bons princes, nous le lui pardonnons volontiers, d'autant plus aisément que s'il se fâchait, il nous krisserait tous dehors de son carré de sable - ça aide à être bons d'être menacés).

« Si les livres ne prennent pas toute la place. Cette maison est bien trop petite. »

Veut-elle nous dire, sans en avoir l'air, qu'elle envisage de déménager ENCORE ? Pourquoi t'as laissé ce foutu John acheter une maison qui serait trop petite ? Je te trouve bizarre, la Voisine. Moi, à ta place... mais bon, comment pourrais-je être à ta place, qui n'ai pas le bon sexe au départ ? J'allais écrire une bêtise, je me suis retenu à temps. La prochaine fois, je ferai mieux.

« Rangement, c'est par ordre alphabétique. Les livres de voyages a part. Anglais et français mélangés. »

C'est vrai, tu es « blé d'Inde », toi. Pour les Franchouillards est « blé d'Inde » qui pratique deux langues, comme Lise. Née Occitane, mais encore plus au Sud que notre Occitane maison, pour une raison qui m'échappe, elle émigra en Amérique (les Indes de Christophe Colomb) pour épouser un John, et dans l'État de New York. Bizarre, la fille, vous ne trouvez pas ?

« Et savez vous que nous avons eu un Balzac avant Honoré ? UN Balzac Balzacien qui nous a laissé de jolies .. des pages difficiles aux environs de 1650 ? »

De qui tu parles ? De Guez, Jean-Louis de son prénom ?

« Ben voilà, maintenant vous le savez. »

Pas sûr, moé ! Qu'est-ce qu'on saurait qu'on n'est pas certains encore d'avoir appris ? Tu la bâilles belle, toé, défoix ! Une vraie Française du Sud, finalement. Comme l'Ôtre - quoique d'orgine germaine, le moindre de ses défauts phylogénétiques.

et moi itou, germaine, puisque mariée à John, dont le père Reinald, était pur german de pere et mère. D'ailleurs, Genz, hein ?? c'est du bon nom d'outre-Rhin, que je saches

cqfd quoi ?? ben que Mab et moi nous sommes cousines, après avoir été voisines - dites, on parlait pas de littérature, au début ?? On reviendra vers ce Balzac qui est bien pour te plaire, le puriste. Si, si, j'y tiens, ne me remerciez pas.

Et un crate ? une grande boite en plastique avec un couvercle pour ranger tout et n'importe quoi
Ainsi, blé d'Inde suis-je ! arghhhhhhh - on va ouvrir un dico blé d'Inde

"Donc, mon PROJET du printemps qui s'en vient - mais oui, il s'en vient. A pas lents, mais il s'en vient - et donc, le projet, c'est de confectionner, de faire confectionner à John un truc pratique pour ranger les livres du sol au plafond dans ce qui était la chambre de notre petit dernier, lequel à mouvu déménagé ailleurs pour cause de mariage et hop, une pièce libéree, dit-elle, on en fera un bureau"


... Mais c'est trop petit.
Tu devrais faire comme ton fiston, Lise : demenage. Pour une baraque/bibliotheque.
(Il parait d'ailleurs qu'un grand manoir vient de se liberer pour cause de meurtre, on parle d'un certain colonel Moutarde assassiné par une mademoiselle Rose, à coups de bas resille dans la bibliotheque)

Pour le rangement par ordre alphabetique, Lise, ce serait trop moche chez moi vue la disparités de l'allure des bouquins; et puis je ne saurais pas s'il faut les agencer par le prenom ou le nom des auteurs, par le titre, si en ce cas l'article compte, bref... Non, moi, restons à l'essentiel : que ça ne perturbe pas mon sens de l'esthetique.


Mab -par contre, ce serait bien, une maison plus petite-

Mab -par contre, ce serait bien, une maison plus petite-

on relance la mode du troc ? je t'envoie la mienne, tu m'expédie la tienne ?



Serieux : pour moi, par ordre alphabetique because c'est ainsi que je m'y retrouve, cherchant les livres par leur nom d'auteur plutot que par leur titre. Et oui, c'est vrai que c'est horriblement disparate.
Les gros, dicos, encyclopédies, etc.. sont tout en bas - pas pratique si on a le dos fragile.

Comment ranger ses livres ?

Je sais, c'est pas juste pour vous, pauvres manant(e)s, mais ce n’est pas de ma faute...

Si Hector s'occupe de la correspondance de Mab, moi c'est Iris qui tient ma biblio à l'ordre... et qui commande et se procure les livres qui me manquent ou dont je n'ai même pas la moindre idée qu'ils pourraient bien me manquer!

Que voulez-vous, être le fou du roi de la cour des miracles de Montréal a son lot d'avantages et les DPDG qui vont de paires avec la fonction de sont pas à dédaigner!

"Si Hector s'occupe de la correspondance de Mab, moi c'est Iris qui tient ma biblio à l'ordre..."


David, tu me connais, la jalousie n'est pas mon truc, mais... QUI EST CETTE IRIS ?


Mab -on nous cache tout-

DMaudio a écrit:

Aaaaaah, la belle Iris, cette Joliecielle qui tient à jour tous les inventaires et les nids où se cachent ces grimoires, incunables, missels, calepins, carnets et répertoires qui excitent mon appétit livresque quotidien !

Un missel excite, je cite, ton "appetit livresque quotidien" ?
Tu es sûr ?


Mab [i]

Un missel m'excite? Mais bien certainement...

Par exemple: hier je me suis tapé « Star Wars Sucks » le crédo selon Cuke Cucumber...

Pis laisse tomber le duo MarieV/MarieM... la princesse Lea.... Huuuummmmm ! Elle, elle est hot !

La religion pis moi, on est fait un, deux, trois, etc.

C'était la Spaghettimesse hier, à la maison de l'Impair... Rouge-sang, la sauce, j'te dis pas!

Il faut une bonne dose de derision et apprecier un humour loufoque pour aller au bout d'un des livres du Disque Monde, tout le monde n'accroche pas.
Mais personnellement, les trois que j'ai lu restent un tres bon souvenir...

J'en ai lu un cet été de Pratchett... effectivement c'est humoristique, délirant... c'était une histoire qui se déroulait dans un pays qui ressemble à l'Egypte antique... ça commence dans une école pour tueurs... je me souviens pas très bien... Sympathique, mais j'ai pas eu envie d'en ouvrir un deuxième

"Sympathique, mais j'ai pas eu envie d'en ouvrir un deuxième"

Quand je pense que j'en ai lu trois jusqu'au bout... Je dois etre une grande malade


Mab -ou alors une ado (tres) attardée-

J'aurais pu aussi bien poster ceci dans « La Grande Citrouille...bis » mais cela sera à l'aise ici. Ceux qui ne sont pas québécois, encore moins montréalais ne sont pas au courant de ce que peut représenter ici « Les Canadiens », ce club de hockey qui n'a de canadien que le nom, finalement. Deux théologiens, grands sportifs devant l'éternel, viennent de commettre un livre dans lequel ils se demandent si le Canadien de Montréal n'est pas devenu une religion. Quand un phénomène suscite l'engouement aussi soutenu que l'on constate auprès du québécois moyen type, la question se pose, même si pour certains et certaines, je ne nommerai personne, elle peut sembler déplacée au premier abord. « même s'il manque un référence explicite et assumée à une transcendance, à un dieu, le Canadien présente bien les aspects d'une religion, peut-être dans la valeur que certains lui attribuent, mais surtout dans les comportements qu'il génère », écrit le théologien Olivier Bauer.

Faut rappeler que le théologien Paul Tillich, à qui on attribue la notion de quasi-religion, définit certaines idéologies politiques ( libéralisme, communisme, fascisme) de « religions séculières, qui ne se réfèrent pas à un principe ou à un être transcendant, mais qui proposent une réponse à la question du sens de l'existence ». À voir la réaction des copains de banc de parc aux batifolages de leur équipe chérie, on ne peut que se convaincre que c'est le cas du Canadien. Le CH comme sens de la vie ? Va falloir commencer à s'inquiéter du sens moral des québécois! Croient-ils que le club de hockey, comme Bauer le suggère dans son livre, « promeut des valeurs dont certains se servent pour construire leur vie »? Ces valeurs seraient le travail en équipe, la nécessité de se surpasser, une sélection impitoyable, une rétribution au mérite, la soumission aux lois du marché, la légitimisation de la violence... Bush, Israël, Hamas... quoi.

Lu dans le Devoir, de la plume de Louis Cornellier, ce matin:

« Quand le théologien Alain Prokin affirme que la Fondation des Canadiens de Montréal, en répondant à l'appel des grandes religions par son aide aux plus démunis, permet à ses bénévoles « d'attendre le divin » et de devenir de « meilleures personnes », il se laisse aller à une hallucinante enflure verbale ». Il néglige l'arrière-fond sauvagement commercial de ce type d'entreprise et le mépris de la justice que cache plus souvent qu'autrement les industries de la charité !

M'enfin... j'aurais donc dû poster ceci dans « Citrouilles... » ou « Inégalités... », j't'en train d'pogner les nerfs !

La Religion du Canadien de Montréal
Sous la direction d'Olivier Baer et Jean-Marc Barreau
Fides
Montréal, 2009, 192 pages.

Définitivement pour Kog, les Anglais on pensé à lui qui veut tant faire oeuvre littéraire mais ne sait pas trop pour qui, pour quel lectorat. Voilà spécialement pour notre ours de l'espace le clavier Klingon !

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