C'est vrai karoli que tu t'étais abonnée à l'express!
donc tu peut lire quelques trucs sur ce qui arrive ici.
je viens de trouver une liste sur un blog,
et meme si çà représente un gros travail, ya pas tout...
Cà resume quand meme pas mal la totale que nous vivons :Tout est demoli et comme dit le gars à la fin c'est pas fini.
donner notre pays? çà va po non?
plutot se battre à coup de tout ce qu'on à sous la main!
je me souviens d'une fois où j'ai cru mourir...
en quelques secondes si çà devait arriver, je savais comment ne pas partir inutile et seule.
On est fous j'te dis!
C'est pas une légende, on deviens fous quand çà touche à la liberté, et çà commence....après les histoires de sous.
Tu sais karoli, ils font les choqués avec la kalatchnikov de la courneuve, mais ils savent très bien tout ce qu'il y à dans les caves de paris et n'y foutent pas un doigt de pied!
Si on n'à pas encore tout explosé c'est aussi parceque nous sommes pas mal à savoir les liens entre mafias de trafics armes drogue et la mafia du fouquets et les interets qu'il y à les uns vis à vis des autres. sinon, nos jeunes qui en bavent ne les verraient pas encore 10 ans plus tard...... en mercedes...frimer narguer tout le monde.
parceque filatures je veux bien, mais faut pas se foutre de nous.
seulement deux gamins de 6 et 10 ans aprehendés par
dix policiers pour un vol de vélo...çà! ils savent faire...
Trouvez l'erreur...
un syndicat de policiers s'est plaint de la politique du chiffre encore et non de la qualité...
essayes de lire mariane aussi dans la librairie..... mine de rien quand tu peux. ici il y à de la presse dans certains gros supers marchés, là dedans personne t'emmerde si tu lis.
bises
nath
Petit manuel sur la Sarkozie Actuelle.
22 Mai 2009
Par
pfsim Voici quelques rappels en vrac, à l’usage des sarkozystes fanatiques, pour les aider à faire campagne.
Pour nous, plus qu’une histoire, ce sont des
faits, et c’est surtout à leur esprit qu’il faut s’attacher, pour
comprendre la vraie nature de ce régime, et pourquoi il faut s’en
débarrasser au plus vite.
J'espère ainsi, en ces temps d'élections, ou l'on
se mêle plus pour s'emmêler, que pour se dorloter, vous rappeler un
peu ce qui nous unit tous, et ce qui nous fait horreur, à juste titre.
Voici, Sarkozy, dans le désordre, qu’il met d’ailleurs de partout, puisque c’est ainsi que prospèrent les bandits,
C’est, tenez vous bien, en deux ans :
Sarkozy, je te vois !
Un ministre de l’intérieur, chargé d’organiser les
élections, qui fait campagne toujours en responsabilités de son
ministère, avec les moyens de son ministère, et ceux de l’Etat.
La grève assimilée à la prise d’otage.
La nuit du Fouquet’s avec les plus grandes
fortunes, pour fêter dignement l’accession à la magistrature suprême en
France, bref, une nuit en boîte, comme le dernier des mafieux, avec les
plus gros trafiquants d’influence et de marchés publics de France.
La virée à Malte, dans le yatch de luxe du milliardaire bolloré pour prendre la mesure de la hauteur de la fonction.
La promotion de la dictature chinoise pendant les jeux olympiques.
Quinze milliards offerts aux plus riches, chaque année, dès l’élection, quand le un milliard du RSA met deux ans à se trouver.
Le Dalai-Lama, prix nobel de la paix, qui attend devant la porte de la patrie des droits de l’homme, et à qui on n’ouvre pas.
Les manifestations dans la rue contre la grève. Initiées , et appouvées par l'UMP, relayées par les médias comme jamais.
Le règne sans partage des sondages s’ils sont
favorables, l’ineptie de se fier à l’opinion publique qui est trop
versatile, s’ils ne le sont pas.
La transformation du premier ministre en ectoplasme transparent, qui ulule quand on lui demande.
Un gouvernement de ministres croupions qui n’ont aucune épaisseur, à l’image du chef de gouvernement.
Le gouvernement des conseillers, qui sont aussi
porte-paroles, accessoirement, sans souci d’un statut de fonction
publique, qui les y autoriserait.
La transformation de l’Elysée en siège de l’UMP,
pour les réunions du président de l’UMP France, et ses vice-présidents
et membres de l’UMP.
Un deuxième conseil des ministres restreint, avec
conseillers spéciaux, mais sans certains ministres d’Etat, ni le
premier ministre.
Des analyses ADN pour retrouver des voleurs de mobylette. (On les a eu, les salauds !)
L’irrésistible ascension de Jean Sarkozy de Nagy
Bocsa, fils de sa majesté, et conseiller général à 22 ans, puis
président du groupe UMP-NC à ce conseil général des Hauts de Seine.Ce
qui nous fait un haut-le-coeur.
Rachida Dati, Garde des Sceaux, sur-diplômée en
sarkophilie, sous-diplômée du reste, carctérielle notoire, qui épuise
et change de directeur de cabinet, comme d’ensemble Dior, la seule à
mettre en pétard l’ensemble de la Justice, des juges aux avocats, en
passant par les gardiens de prison, dont quelques uns connaissent le,
ou les frères, suite aux stages qu’ils y font.
Militante de la réduction du congé de maternité.
Championne toutes catégories des dépenses de fonctionnement, et de représentation de son ministère.
La mise en place des franchises médicales, et des
franchises juridiques. Faire payer les pauvres est rentable, depuis
Louis XIV, c'est connu..
La bataille, et la victoire contre les régimes des
cheminots, qui feront donc leurs heures comme tout le monde. Non ?
Plus, et au même tarif ? Ah, bon.
599 journalistes, qui se marrent de voir
ridiculiser un 600ème, tous convoqués pour le sarkoshow, ou la
naissance du néo-journalisme, appelé aussi sarkinfo, ou
journalisme-carpette ou, mieux :
Journalisme/couché/fais le beau/ aboie/mords/sussucre/prends donc ce coup de pied au cul.
(des couilles, yen a pu, s’adresser à mediapart, qui s’est remis à en fabriquer, pour la profession).
Les prix de l’essence qui explosent.
Total qui fait treize milliards de bénéfice.
600 millions d’euros baladeurs entre les caisses des syndicats, du medef, et on ne sait pas où…La justice ne cherche pas.
Une auto-augmentation de 172 % de son salaire.
Le mini-traité européen de Lisbonne, reconnu comme
goutte d’eau jumelle du TCE par VGE, qui s’y connaît, et l’affichage
serein du mépris de référendum de 2005.
Kouchner, ministre des affaires étrangères, et
réception et/ou serrage de main de khadafi, Poutine, Nguesso, Hu jin
Tao, les Farc, etc…
Khadafi dans les jardins de l’Elysée le jour anniversaire des droits de l’homme.
Les policiers dans la rue en 2008.
Un temps de parole en deux ans supérieur ou égal,
à celui cumulé des deux précédents présidents de la république, pour
leurs quatorze ans de mandat.
La croissance exponentielle des mises en examen des journalistes.
La perte d’un milliard sur la vente de 3% d’EDF, fleuron du patrimoine national.
Le grenelle de l’environnement enterré.
Le vote des OGM.
La fin de la durée légale du travail.
La fin de la retraite à soixante ans.
La soumission à G. W. Bush, et à la city britannique.
L’expulsion de réfugiés politiques chez leurs tortionnaires.
Les bavures policières couvertes.(Villiers le bel)
Christine Lagarde ministre de l’Economie, des
Finances et de l’Emploi, l’incompétence en marche, sur-diplômée en
sarkophilie, et en « fais le beau, aboie, aboie ! » mais se plante
régulièrement sur toutes les prévisions, incapable de faire un plan
cohérent pour faire face à la crise, satellite sans voix de sarko 1ier.
La presse écrite, et radio télé, complètement aux ordres du président, sauf un dernier carré très restreint d’irréductibles.
La conservation du salaire de ministre de
l’intérieur plus élevé, que celui de président, jusqu’à la
revalorisation massive de ce dernier.
La réforme de l’assurance chômage, et la désorganisation de l’anpe, et de l’unedic, au moment où l’on en a le plus besoin.
Les patrons français, parmi les mieux payés, et les moins compétents.
La comédie des amours du Roi-Bruni, dans la presse people.
Le divorce –mariage du président, sur mesure, le plus rapide à l’est de Las Vegas.
Le journalisme de désinformation et du black-out.
Le journalisme cire-pompes, et lèche-cul, jamais vu, ni même imaginé à ce jour dans une démocratie.
L’explication tombera par hasard.
Quand on saura qu’un électeur plaignant, se fera
balancer à son employeur, TF1, par son député, Panafieu, par ministère
de la culture interposé, pour ses opinions sur le projet de loi hadopi,
et qu’il se fera virer aussi sec.
La crise financière sans importance, puis la crise
financière derrière nous, puis la crise financière alibi. La girouette,
autre nom du régime sarkozyste, je vais où le vent me porte le mieux.
La presse étrangère qui voit sarko, à son niveau, donc razmoket.
L’explosion des plaintes pour outrage.
Les commissions tous azimuths, payées à grands frais, dont les rapports sont enterrés ou court-circuités.
Les aller et retour, et les volte-face, 35 heures,
RSA, plan banlieue etc…Et bien sûr, sur les engagements
internationaux, pêche, etc…
Le fait du prince : suppression de la publicité
sur les chaînes publiques, et nomination sans concertation des patrons
des médias publics.
Mesures brouillonnes sans priorité, sous le coude ou abandonnées,
suppression du juge d'instruction, carte famille nombreuse, travail le
dimanche.
Réformes croupions avec d'énormes coûts cachés :
- la réforme des régimes spéciaux, pas d‘effet avant 20 ans, et peut-être finalement plus chère pour l’Etat à terme.
- la réforme de l'Etat : la fusion de la Direction générale des impôts
et celle de la Comptabilité publique, coûte 140 millions d'euros, et
perd toute rationalisation dans le travail.
- la réforme des heures supplémentaires qui coûte 6 milliards d'euros à l'Etat et blanchit les primes pour dépassement des 35 h.
Montée des lobbys de la grande distribution, travail le dimanche, et
implantation des enseignes où l’on veut, pour travailler quand on veut,
en fait liberté d’exploiter les lieux et les personnes.
Réforme avortée en trompe l'oeil, des taxis, à Paris.
Les médecins et l’hôpital dans la rue, avant d’y mettre les malades sans moyens.
Réforme scolaire, contre les enseignants et les parents d’élèves. Trop cher de former de futurs chômeurs.
Réforme prévue de l’instruction, avec la fin de son indépendance, et
un système qui va faire payer le défendeur, plus que l’accusateur.
Réforme de l’implantation des tribunaux, et des casernes sans aucune concertation.
Réforme des institutions, renforcement de l’éxécutif.
Affaiblissement jamais vu de l’opposition.Visiblement, l'UMP ne sera
plus jamais dans l'opposition, semble-t-il.
Le salaire des copains, l’affaire Tapie.
Le président des électeurs de l’UMP, à son congrès, les publics
triés sur le volet, la police par milliers d’heures d’escorte, tout ça
pour le con-tribuable.
Le mépris des français, de « casse-toi pauv’con » au salon de
l’agriculture, à « descends ici si t’es un homme. » au pêcheur breton.
Le braquage par le Président de la caisse des dépôts et consignations, et celui du livret A.
Petite foulée du footingueur avéré vers le concept, plusieurs
pauvres valent un riche, et la montée en puissance des impôts indirects.
La guerre des paroles, avec les mots les plus durs qu’on puisse
entendre, dans la bouche de responsables politiques, de fillon à
lefebvre, de besson à bertrand, de copé à pécresse, bachelot,
alliot-marie ou ‘importe quel homme ou femme du gouvernement, qui perd
toute mesure, dès qu’il, ou elle, sent la contradiction.
Le mépris de sarko pour l’allié allemand.
Les répulsifs anti-jeune ou anti-sdf dans les centres villes.
La constitution de la cinquième république, qui prend de grosses, grosses ratures.
Mocquet signe d’un sang rouge, communiste, le manifeste de la
sarkozie moderne, dans les salles de classes. Jaurès s’était déjà fait
squatter la parole.
Un enfant du primaire, parraine un autre enfant, des camps
d’extermination, merci, sarkozy. Ah, et bien non, finalement, c’était
limite.
Le chômage explose dans la crise, mais ne dérange personne, sauf les chômeurs, ces cons de pauvres.
On délocalise à tout va, grâce à l’alibi de la crise, c’est pas bien.
Il faut porter plainte, sous sarkozy, conseil de fillon, contre les
employés, jetés à la rue, qui séquestrent leurs dirigeants, pour
arriver à leur parler.
Le figaro, organe de presse, qui passe de dissimulateur, à menteur, carrément.
Les états généraux de la presse, nationalisés.
Municipales, la première gifle dont personne ne parle.
Sarkozy, le président qui vous tutoie, qui vous pose la main sur le
bras, qui vous enlace et qui vous baise, pardon, vous embrasse ?
Il faut sauver la flamme olympique, les flics chinois sont protégés
par les flics français, apprentissage de la dictature, chez ceux qui
connaissent.
Le pétard humide de l’union pour la méditérranée.
Le sarkoshow à toutes les sauces, de la gestuelle, à l’onomatopée,
le mépris, l’insulte et finalement la nullité, sarko et les enseignants
chercheurs.
Devedjian, ou le ministère sur mesure.
GDF privatisée, la grande gavade des copains, la fin d’un service de qualité, le début du racket.
Sarkozy, retour à France 3, le off qui tue, un technicien qui fait
son boulot sans lécher. C’est là que nous avons perdu la chaîne de
proximité.
Un budget 2007 qui se plante de 10 milliards d’euros, de 34 à 44, un quart dites-vous ? Non ? Si !
Les centre de rétention, mais où a-t-on déjà vu ça ? Dans les années 40 ? Non ? Si !
Le père spirituel de sarko, dassault, 35 milliards d’argent public engouffré, et il n’aime pas les chômeurs, ces fainéants.
La CSG, plus pour les ménages, moins pour les entreprises, ouf !
Bien, ce sera un premier volet, le second suivra, mais il y en a tellement.
Mes remerciements, pour cette voix à nulle aute pareille, ses infos,
et le bonheur de rencontrer quelqu'un qui a continué de penser après
l'avènement du fléau, le site si bien nommé :
http://www.lesmotsontunsens.com/ Ainsi qu’à :
http://www.challenges.fr/magazine/enquete/0159.019230/sarkozy_le_vrai_bilan.html et bien sûr à Médiapart.
Suite, quand mon moral sera un peu remonté...