Il faut avoir la foi!

Ben finalement... je me dis qu'il y en a qui ont raison d'avoir la foi.

Pas d'avoir la foi bé-bête de choisir son parti en faisant semblant de douter mais en ayant la foi dans un échange ouvert porté vers une possible raison sans la coloration psycho-religio-culpa(bili)bo-raciale habituelle:



Quand deux peuples ennemis ne peuvent se fréquenter en chair et en os, pourquoi ne pas leur offrir un lieu de rencontre sur le web?

Onemideast.org

Montréalais d'origine syrienne, Camille Otrakji est entré dans ce champ de mines un peu par accident.
Tout a commencé avec un texte qu'il a fait paraître dans le journal israélien Haaretz à l'occasion du 40e anniversaire de l'occupation du Golan.

Mais les temps sont durs pour les pacifistes!

Je suis tombé par hazard sur ce petit texte qui, comme me l'a souligné Kog a qui j'avais envoyé copie, redonne confiance dans l'intelligence, fragile, qui habite certains membres de la famille Sapiens:

Cultures



Chantal Guy
La Presse

J'ai appris cette semaine, par la bouche du cardinal Ouellet, qu'il y aurait chez nous une «culture de mort». Mazette, voilà qui est terrifiant de la part d'un homme d'église, où partout sont affichés des Jésus agonisants sur des croix. Il doit s'y connaître. Mais cela, n'est-ce pas, est pour nous rappeler qu'Il a triomphé de la mort, non? La peur de la mort, c'est la grande affaire de la religion, qui, bizarrement aussi, s'intéresse de façon assez obsessionnelle à la sexualité, même si Jésus n'aurait pas vécu la chose, ni eu d'enfant, et que les curés doivent en faire autant. D'ailleurs, on ne sait pas trop ce que Jésus aurait fait de son corps une fois ressuscité. La peur, en général, c'est l'affaire de la religion. Car sans la peur, à quoi peut-elle bien servir? J'aime lire la Bible parce qu'elle est limpide là-dessus, elle met dès le début le doigt sur le bobo: ça commence par l'histoire d'un homme et d'une femme qui s'éveillent au monde en mangeant le fruit défendu de la connaissance... À partir de là, tout fout le camp, et ça se termine par l'Apocalypse.

En ce qui concerne cette culture-de-mort qui ferait des ravages, j'ai plutôt l'impression que c'est la culture de la-vie-à-tout-prix qui nous rend tous aussi morbides. J'ai souvent en tête cette phrase de Cioran: «Quelqu'un emploie-t-il à tout propos le mot «vie»? - Sachez que c'est un malade.» Je crains sans cesse de tomber, quand je serai vieille, sur un de ces malades qui, par «amour sacré» de la vie, fera tout pour prolonger ma souffrance, en utilisant mon corps comme champ de bataille contre la Mort, qui de toute façon gagnera. Je ne compte pas dans leur croisade, et ce sont eux qui me donnent envie d'écrire tout de suite mon testament biologique, et de planquer quelque part une pilule de cyanure au cas où je ne pourrais leur échapper.

Cette culture de la-vie-à-tout-prix en dénie le sens, puisqu'elle est tournée vers un hypothétique ailleurs dont nul ne connaît l'existence. Ses adeptes s'intéressent tant à ce qui se passe avant, et ce qui se passe après, rarement à ce qui se passe pendant. Nous sommes là à gloser sur l'âme et la citoyenneté des embryons, et sur le paradis à la fin de nos jours, sans jamais vraiment s'interroger sur l'existence pendant qu'on y est. Sollers écrit: «Les dévots? Molière a tout dit: «Ils veulent que chacun soit aveugle comme eux. C'est être libertin que d'avoir de bons yeux.»»

Les dévots n'aiment pas les gens trop curieux, encore moins les gens cultivés. Ils sont plus adeptes de la monoculture - la leur. La complexité, la diversité, le doute, c'est pas leur truc. Un peu comme la firme Monsanto, finalement: ma semence et pas d'autres dans ton jardin.

Je vous quitte pour l'été justement pour aller cultiver mon jardin - extérieur et intérieur. C'est tellement beau, un plant de tomates côtoyant un plant de basilic. La perfection. Il ne m'en faut pas plus pour croire au divin, je vous jure. Parce que oui, je m'intéresse au divin - expérience maintes fois vécue, trop importante pour être laissée entre les mains des dévots. En regardant pousser mes plants, je terminerai Mai au bal des prédateurs de Marie-Claire Blais, formidable de complexité dans le monde marginal des travestis, autre jalon dans l'oeuvre magistrale d'un écrivain qui aime tout ce qui sort du cadre étroit de la normalité. Je terminerai aussi le Discours parfait de Sollers, qui croit que la seule obscénité impardonnable à notre époque est la pensée. Pour le reste, je laisserai venir à moi les petits et grands romans qui auront la chance de me croiser.

Et c'est ainsi que certains ne doutent pas et choisissent leur camp:



Thomas J. Olmsted, évêque de son métier. Spécialité: enfoiré et disciple de Benny

Je terminerai aussi le Discours parfait de Sollers, qui croit que la seule obscénité impardonnable à notre époque est la pensée

Faut pas qu'il s'inquiète Sollers, il est resté très très prude ! (quand je pense qu'il paraît qu'il est lacanien ... enfin c'est ce qu'on m'a dit... quelle horreur... on choisit pas sa famille !)

Citation :

... on choisit pas sa famille !

Non mais parait qu'il faut choisir son camp!

Tu connais le camp des gentils, toi? Comme la famille, il a foutu le camp, le camp des gentils!

DMaudio a écrit:

Citation :

... on choisit pas sa famille !

Non mais parait qu'il faut choisir son camp!

Tu connais le camp des gentils, toi? Comme la famille, il a foutu le camp, le camp des gentils!

Mes ancêtres ont fait ce qu'ils ont pu pour les cramer ou les purifier (St Bart; Beziers etc...)
Mes grands parents aussi, pendant la guerre

Mais y'en a toujours partout partout... et je compte même pas les chinois

(ump: "gentil" en ancien français signifiait "impie" ou "hérétique")

DMaudio a écrit:

Tu connais le camp des gentils, toi? Comme la famille, il a foutu le camp, le camp des gentils!

Voyons David, il n'existe pas de camp des gentils, sauf peut etre dans les films de cow boy et d'indiens.
On choisit son camp en fonction de l'avenir qu'on prefere. Quelque chose entre "De deux maux, choisissons le moindre" et "On ne fait pas d'omelettes sans casser des oeufs".
Bien sur, il faut accepter le "Vae victis" dans la corbeille.

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Quantat, tes aieux n'ont pas fini le boulot, les heretiques pullulent (David lui-meme le dit : ils sont partout...)


Mab

Citation :

"On ne fait pas d'omelettes sans casser des
oeufs"

Ouais, mais les oeufs qu'on casse pour faire l'omelette, ils sont pas fécondés, eux. Et le camps des cowboys, il est facilement identifiables avec ses missiles, ses canons, ses hélicoptères alors que les indiens, avec leurs barres de métal et les couteaux...

Les cowboys, ils ont aussi un p'tit 200 ogives nucléaires grâce à les copains de l'Apartheid de l'époque en Afrique du Sud et leurs espions déployés chez les meilleurs amis, les amères-loques.

Le camp des gentils, il existe. C'est juste qu'il est devenu le camp des voyous, aux côtés de la Corée du Nord, de l'Iran, des Talibans et de ... l'Arabie Saoudite, pour faire bonne mesure.

Vae Victis peut-être, mais on dit aussi que qui vit par l'épée périra par l'épée...

DMaudio a écrit:

Vae Victis peut-être, mais on dit aussi que qui vit par l'épée périra par l'épée...

Ce qui explique sans doute que les hommes s'echarpent sur le theme : "C'est moi qui ai la plus grosse".


Mab

La plus grosse? Une histoire de voyous. Vraiment!

D'ailleurs:

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Qui dit que juifs et racisme ne vont pas ensemble?



Par Normand Lester, Yahoo Canada

Le titre a de quoi choquer beaucoup de monde. Il coiffe une analyse d'Akiva Eldar principal chroniqueur politique et éditorialiste du grand journal israélien Haaretz dans son édition d'hier. Si j'avais osé utiliser un tel titre sans l'attribuer à un éminent Israélien, il est sûr que j'aurais eu le B'nai Brith et toute une flopée d'auxiliaires de propagande d'Israël au derrière.

Eldar s'indigne de la grande amitié qui liait Israël au régime raciste qui a dominé l'Afrique du Sud à l'époque de l'Apartheid. Un livre va être publié cette semaine sur le sujet par l'auteur Sasha Polakow-Suransky (The Unspoken Alliance: Israel's Secret Relationship With Apartheid South Africa). Parmi les révélations sensationnelles qui y sont faites, on apprend que le pays qui se présente comme la figure de proue de la lutte contre le racisme sous toutes ses formes a proposé de fournir des armes atomiques aux suprématistes blancs de Pretoria pour assurer la pérennité de leur pouvoir. Les Afrikaners, il ne faut pas l'oublier, étaient des antisémites virulents qui, dans les années 30 et 40, appuyaient l'Allemagne nazie.

Difficile de salir Polakow-Suransky en le présentant comme un antisémite délirant, il est rédacteur sénior à la prestigieuse revue Foreign Affairs. Il relate dans son livre qu'en avril 1975 la coopération militaire clandestine entre les deux pays a été formalisée dans un accord secret signé par le ministre de la défense israélien, Shimon Peres et son homologue sud-africain P.W. «Pik» Botha. Ce gouvernement officiellement raciste était dirigé par John Vorster qui fut interné à cause de ses sympathies hitlériennes durant la Seconde Guerre mondiale.

En octobre 1980 le ministre de la Défense d'Afrique du Sud, le général Magnus Malan reçoit une lettre de félicitation pour sa récente nomination du général israélien Yonah Efrat, à l'origine de l'Alliance contre-nature d'Israël avec le régime de l'Apartheid. Il lui écrit « Puisse le Dieu tout puissant être avec vous dans toutes vos entreprises.» Polakow-Suransky cite aussi l'homme qui incarne depuis des décennies la gauche israélienne, Shimon Peres qui, de son côté, parle « d'une coopération basée sur des intérêts communs, mais aussi sur la haine commune de l'injustice…» Peres, prix Nobel de la paix, considérait donc les racistes blancs sud-africains comme injustement persécutés par la communauté internationale.

En visite au Cameroun quelques années plus tard l'hypocrite Peres, alors premier ministre d'Israël, dit dans un discours en français :«Un juif qui accepte le racisme cesse d'être juif. Juif et racisme ne vont pas ensemble.»

Selon Polakow-Suransky, le commerce et la coopération militaire entre les deux régimes se sont poursuivis même après que le gouvernement israélien eut annoncé l'imposition de sanctions en 1987 contre l'Afrique du Sud. Ce n'était que de la frime. Toujours avec la même hypocrisie et mauvaise foi Jérusalem s'abstenait de faire la promotion du tourisme sud-africain, mais continuait de fournir armes et pièces d'équipement militaire au régime suprématiste blanc.

La relation honteuse s'est poursuivie avec les racistes sud-africains jusqu'à l'effondrement de leur régime en 1994. À cette époque, Israël avait développé d'autres relations militaires inavouables avec plusieurs dictatures latino-américaines et avec le régime autoritaire chinois. Les chars qui ont écrasés dans le sang le printemps de Pékin en 1989 étaient dotés d'équipements «Made in Israel», mais c'est là une autre histoire.

Tant qu'on ne réservera pas l'appelation "être humain" aux individus dignes de cette appelation (blonds chatains aux yeux bleus ou verts) le racisme pullulera partout !!!

Quand on aura appliqué la réserve ci dessus, le terme "racisme" perdra tout son sens

le "spécisme" (neutralisation des espèces inférieures; entre autres les grands primates imitant l'homme) n'est pas grave du tout et dieu l'aime beaucoup

-oui je suis trop con et alors ? vous feriez comment vous, avec un cerveau de flamand ?-

Je sais pas pour les flamands mais on m'a dit qu'ils ont beaucoup en commun avec les kébécois.

Nous sommes le produit d'un eugénisme inspiré qui donne le type d'individus au comportement que l'on peut admirer dans le vidéo suivant:




Les aventures aquatiques fascinent le monde. Malheureusement, le Québec, contrairement à certains états voyous, n'a pas d'Hasbara pour préserver son image!

ah les cons!

Effectivement un flamand pourrait faire pareil !

J'aime bien quand ils (les flamands) jouent aux quilles: 4 ou 5 gars font les quilles, et un crétin fait la boule: il court et se jette sur eux..; tu devrais essayer de lancer le jeu chez toi

T'en fais pas Quantat, les Newfies l'avaient inventé !!!!

DMaudio a écrit:

Je sais pas pour les flamands mais on m'a dit qu'ils ont beaucoup en commun avec les kébécois.

Nous sommes le produit d'un eugénisme inspiré qui donne le type d'individus au comportement que l'on peut admirer dans le vidéo suivant:




Les aventures aquatiques fascinent le monde. Malheureusement, le Québec, contrairement à certains états voyous, n'a pas d'Hasbara pour préserver son image!

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Nous savons comment être cons ! J'ai honte. David, choisis un peu tes vidéos, please.

Okay.

M'a choisir une image alors:




Le lac artificiel de 2 millions de dollars si cher au coeur de l'ami Harper pour le party du G8 et G20!

Pendant de temps-là, l'autre bande de débiles, celle de Charest au
provincial, annonce des coupures d'aide sociale aux familles
monoparentales et aux plus de 55 ans...

Flamand, c'est mieux...

Il faut savoir choisir son camp!

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Israël : d’atout à handicap stratégique

« Avec les monarchies pétrolières, Israël est désormais le plus grand handicap stratégique de l’Amérique au Moyen-Orient et en Asie centrale. À cause d’Israël, nous sommes dangereusement près de «perdre» la Turquie : une démocratie musulmane (…), qui est une actrice cruciale dans les affaires du Proche-Orient et de l’Asie centrale. Sans la Turquie, les États-Unis réaliseront peu de leurs objectifs régionaux, que ce soit vis-à-vis de l’Iran, de l’Afghanistan ou du monde arabe. Le temps est venu de tourner le dos aux clichés, de traiter Israël comme un État «normal» et de couper le cordon ombilical. »

Tony Judt, historien.
«Israël sans clichés»:titre d’un article publié aujourd’hui dans le New York Times .

La foi et La Secte! Quel beau mariage de déraison...

Richard Hétu, de La Presse, se pose une question qui me semble surréaliste:

Le New York Times en viendra-t-il un jour à évoquer le «romantisme» du terrorisme palestinien ou islamiste?

La question se pose après la publication d’une entrevue réalisée par la journaliste Deborah Solomon avec Tzipi Livni (photo), chef de l’opposition en Israël, dans le numéro courant du magazine du quotidien dont Hétu cite un extrait :

Vos parents font partie des fondateurs du pays.

Ils ont été le premier couple à se marier en Israël, le tout premier. Les deux ont fait partie de l’Irgoun. Ils étaient des combattants de la liberté, et il s’étaient rencontrés en montant à bord d’un train britannique. Pendant le mandat britannique, ils ont volé un train afin d’obtenir de l’argent pour acheter des armes.

C’était une époque plus romantique. Votre mère est-elle encore vivante?

Non. Elle est morte il y a deux ans…

L’Irgoun, rappelons-le, a multiplié les attentats terroristes durant les années 1930 et 1940, tuant notamment 91 personnes (28 Britanniques, 17 Juifs et 41 Arabes), la plupart civiles, dans l’explosion de l’hôtel King David.

Même si Deborah Salomon emploie souvent un ton ironique ou sarcastique dans ses entrevues, on s’imagine mal qu’elle puisse trouver un jour romantiques les souvenirs de la fille d’un chef du Hamas ou laisser passer sans broncher la description de terroristes comme étant des «combattants de la liberté».

Pour les adeptes et membres actifs de la Hasbara éternelle, ils et elles se reconnaîtront, voilà une émoustillante nouvelle:

Un nouveau groupe pro-Israël en Amères-Loques est né

Le groupe, appelé Emergency Committee for Israel, réunit des Américains de confessions juive et chrétienne, dont le commentateur néoconservateur William Kristol et le fondamentaliste évangélique Gary Bauer, qui veulent informer les électeurs des positions des candidats aux élections américaines vis-à-vis d’Israël. Voici sa toute première pub, qui critique la position de Joe Sestak, candidat démocrate à l’élection sénatoriale de Pennsylvanie :



Putain! De quoi j'me mêle?

Selon la Presse Canadienne,une publicité un-toutipeu audacieuse de Pamela Anderson prônant le végétarisme serait légèrement trop sexy - même pour l'ardente ville de Montréal. L'ancienne vedette de la série télévisée Baywatch, une militante reconnue pour la défense des droits des animaux, n'a pas obtenu le permis municipal nécessaire afin de présenter un événement promotionnel pour sa nouvelle campagne publicitaire.

Dans la publicité, le corps de l'actrice américaine est couvert de peinture et imite le diagramme d'un boucher - avec des parties où sont inscrites les mots «poitrine», «cuisse» et «culotte».

Le slogan va comme suit: «Tous les animaux sont composés des mêmes parties. Ayez un coeur - Soyez végétarien».

Mme Anderson, qui est de passage à Montréal pour le Festival Juste pour rire, espérait pouvoir lancer sa campagne publicitaire sur la place publique juste devant l'hôtel de ville de Montréal.

Les dirigeants municipaux ont cependant utilisé leur véto, selon un courriel transféré par le PETA - le groupe avec lequel l'Américaine travaille.

Dans ce courriel, un responsable municipal dénonce le fait que la publicité soit sexiste et qu'elle ne corresponde pas aux valeurs des Montréalais.

En conséquence, elle effectuera le lancement de sa campagne publicitaire jeudi à un autre endroit - un endroit lié au Festival Juste pour rire.... du Conseil de Ville de Montréal!

P.S.: Mme Anderson a déclaré par voie de communiqué qu'elle trouvait ironique le fait qu'une ville reconnue pour ses danses exotiques et son style de vie libertin déplore qu'une femme utilise son corps pour «protester politiquement».

Ca donne pas du tout envie de devenir Vegetarien...
Je tenterais bien le cannibalisme moi

J'me d'mande bien pourquoi?

... pour tenter une expérience qui me rapproche un peu plus de nos ancêtres les plus lointains, et de la nature par la même occasion